Effets secondaires et dangers neurologiques

Extrait de l’étude : Un masque bucco-nasal est-il exempt d’effets secondaires indésirables et de dangers éventuels lors de son utilisation quotidienne ?
Kai Kisielinski, Paul Giboni, Andreas Prescher, Bernd Klosterhalfen, David Graessel, Stefan Funken, Oliver Kempski et Oliver Hirsch

(les numéros entre crochets renvoient aux études figurant dans la bibliographie ; par exemple, [15] indique l’étude n° 15).

Résumé

Le masque n’est pas adapté aux épileptiques car il peut déclencher une hyperventilation [63]. Le port d’un masque augmente significativement la fréquence respiratoire d’environ 15-20% [15,21,23,34,64].

Le port de masques a provoqué des effets indésirables détectables, tels que :

des troubles de la perception et des maux de tête [37,66,67,68],

(Cause : diminution du taux d’oxygène dans le gaz du sang, augmentation du taux de dioxyde de carbone)

confusion, désorientation, somnolence et altération des capacités motrices avec réduction de la réactivité et une altération générale des capacités [19,23,29,32,36,37].

(Cause : une diminution latente induite par le masque des niveaux d’oxygène dans le gaz sanguin O2 (vers l’hypoxie) ou une augmentation latente des niveaux de dioxyde de carbone dans le gaz sanguin CO2 (vers l’hypercapnie) [36]. A la lumière des données scientifiques, ce lien semble également indiscutable [38-41] ).

Maux de tête [27].

(Cause : vasodilatation prononcée et mesurable avec augmentation du débit des artères cérébrales -Arteria cerebri media- due à l’augmentation du taux de dioxyde de carbone (CO2) dans le sang)

des altérations significatives de la pensée et de la concentration avec tous les types de masques utilisés (masques en tissu, chirurgicaux et N95) [29] déjà après 100 minutes de port du masque

(Cause : une baisse de la saturation en oxygène pendant le port du masque).

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